Alice Pichot : « J’étais plus qu’impatiente de reprendre avec les filles ! »

Arrivée à l’intersaison, Alice Pichot se remettait lentement d’une blessure à l’épaule, dont elle a dû être opérée. Passée par deux autres clubs de Nationale 1 (Rouen, La Motte-Servolex) avant son arrivée à Bayonne-Biarritz, l’arrière est désormais de retour et va disputer son tout premier match avec Côte Basque Handball contre Bergerac, ce samedi.

Son parcours handballistique

J’ai commencé le handball à l’âge de 8 ans à côté de Chartres. Après être passée par les sélections départementales puis régionales, j’ai rejoint le club de Dreux afin d’évoluer pendant 2 ans en U18 France avant d’intégrer en terminale l’effectif de la N2 de ce club, accédant en N1 en fin de saison. Pour mes études, j’ai déménagé à Rouen et j’ai ainsi joué au club du Rouen Handball pendant 3 ans (N2), où nous avons décroché la montée en N1 à la fin de ma dernière saison au club. J’ai ensuite déménagé à Chambery pour y poursuivre mes études en Master et j’ai ainsi rejoint la Motte-Servolex (N1). Après une première saison inexistante à cause du Covid, ma deuxième année au club a été perturbée par une opération de l’épaule et un stage de fin d’étude de 6 mois réalisé à Lille. Pour des raisons professionnelles je suis ravie de m’installer dans la région et de rejoindre CBHB !

LES TROIS questions

Après être passée par Rouen ou La Motte-Servolex, tu vas découvrir un troisième club de Nationale 1. Comment décrirais-tu ce championnat ?
Alice Pichot :
Je ne connais pas bien les équipes de la poule mais j’ai hâte de les rencontrer et d’affronter les amies que j’ai dans ces différents clubs.

Comment s’est passée ta rééducation après ton opération à l’épaule ?
Alice Pichot :
Forcément, ce n’était pas la meilleure période. Cela faisait quatre ans que j’avais des douleurs à l’épaule et cette dernière année, ce n’était plus tenable. Après mon opération réalisée début juin, j’ai eu la chance de récupérer rapidement une mobilité pour les mouvements du quotidien. Pour le sport, c’était plus long… Je suis allée environ trois à quatre fois chez le kiné par semaine, en plus des exercices quotidien que j’ai eu à réaliser. J’ai repris des ateliers de passes avec Maeva (la prépa physique), en regardant les filles jouer à côté… J’étais plus qu’impatiente de reprendre avec elles !

Qu’est-ce qui t’as plu dans le projet Côte Basque Handball ?
Alice Pichot :
Quand j’ai eu Mickaël au téléphone, il a été très accueillant. Je lui ai expliqué ma situation et il était rassurant. Rejoindre un club en étant blessée, ce n’est pas évident pour s’intégrer. Mickaël m’a parlé de l’ensemble du staff et de l’équipe. Entre le kiné et la préparatrice physique, j’ai été entre de bonnes mains pour reprendre. En arrivant, le niveau de jeu de l’équipe me semblait également très intéressant et l’ambiance générale du club très conviviale.

Fiche d’identité

Alice Pichot
Date de naissance :
23 août 1999
Taille : 1m75
Poste : arrière 
Travail : ingénieure recherche et développement chez Décathlon 
Anciens clubs : Chartres (jeunes), Dreux (U18), Rouen (N1), La Motte Servolex (N1)
Qualités : persévérante, à l’écoute
Défauts : impatiente

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